L’existence d’une seule photo n’exclut pas une numérotation basique. Je reconnais le caractère obsessionnel de cette attitude, mais au club, ils me disent plus rien, ils me laissent faire, comment? Déconner ? Oui, c’est comme ça qu’ils disent……ils me laissent déconner.
Ta photo m’inspire plusieurs réflexions.
D’abord j’aurais supprimé le premier plan, les cailloux, pour privilégier le ciel, c’est proche du 50/50 quand même, surtout avec une sorte de réflexion de couleurs blanchâtres, moirées, crayeuses, et il y a ce bouquet d’arbres posé là et qui me semble bien saturé par rapport au fond, si, si, il y a ce p…. de halo tout autour qui trahit la saturation forcée, et cela accentue le caractère « artificiel ». On dirait qu’il a été posé là………………d’un coup de tampon….et je ne vise personne.
C’est comme cela que je la vois. En plus je ne suis fanatique de ces eaux « gélifiées ». Il y a deux écoles :
les premiers disent :
Quand l’eau devient colle ou glu ou gélatine,
La photo prend alors une dimension divine,
Et quand suprême retouche, l’onde se mue goudron,
On salue le chef-d’œuvre, on tombe en pâmoison.
les autres (dont moi):
Quand l’eau devient colle ou glu ou gélatine,
La photo prend alors une allure cabotine,
Et quand suprême retouche, l’onde se mue goudron,
Alors je tire la chasse, et j’évacue l’étron …..
Sans rancune ………………..Je te donne l’autorisation de me lyncher à la prochaine occasion.
