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André NIHOUARN
ParticipantBen merci , mais ce qui va pas c’est l’inversion de l’objectif, ça va pas du tout l’inversion de l’objectif, alors on relit une dernière fois et puis après on ira boire un pt’it verr’ de vin chaud…….
André NIHOUARN
ParticipantBon, Patricia, mon amie, je comptais mettre un petit mot, tu vois le genre « content de t’avoir donné un conseil », ou « n’hésite pas à me rappeler », mais là, y a plus rien à dire. Je suis comme le skieur prétentieux s’aventurant en hors-piste et emporté par l’avalanche. Fallait rester sur une « bleu », avec les débutants et les enfants.
Mais, bon, un bon objectif, c’est quand même beaucoup.
André NIHOUARN
ParticipantSalut Patricia,
Je salue tout d’abord ta nouvelle venue sur le Forum. Merci de t’y intéresser.
Comme toi j’aime la macro, mais aussi les photos de rue, les portraits, les photos de spectacle et les photos de foot, (mais là je ne le crie plus sur les toits ….).
Depuis que je suis à l’APC, c’est à dire depuis que je travaille en raw, que j’utilise des logiciels de correction, que je m’incline respectueusement devant la Profondeur de Champ, et que je me prosterne religieusement devant la suite de Fibonnaci, j’ose émettre un avis : « Le boitier, c’est bien, mais l’objectif c’est beaucoup ». Et j’en ai fait l’expérience après- avoir mis au placard mon premier objectif, un sigma 18/200, et être revenu à des focales fixes, nettement plus performantes, avec le même boitier.
Peut être que je dis des conneries, mais comme disait Pierre Dac » Il est parfois préférable de ne pas savoir ce que l’on dit que de dire ce que l’on ne sait pas« .
André NIHOUARN
ParticipantSalut à vous El-Presidente Che Domenico.
Vous présentez quelques clichés du domaine du sieur James Marie Antoine Monjaret de Kerjégu. Domaine sur lequel, au pied du Roc’h An Aotroù, ce baron breton fit bâtir ce château « révolutionnaire » dans l’équipement intérieur, ascenseur, eau courante, chauffage. Je parcours toujours cet édifice en chantonnant la petite chanson de Gainsbourg, « eau et gaz à tous les étages… »
Maintenant, régulièrement, on attire le chaland en badigeonnant les édifices de couleurs dites artistiques, comme à Quimper, ou à Locronan. A Notre Dame de Paris aussi, mais là ils ont poussé un peu loin la colorisation. Je ne suis pas un grand fanatique de ceci.
Je reconnais que la 2 a une certaine qualité à l’œil, et la 3 qui pourrait servir d’affiche à un film d’horreur.
Mais c’est Noël, alors bravo Ex-Presidente ! Oui c’est la nose de Noël la plus jolie nose de l’année.
André NIHOUARN
ParticipantP….., heureusement j’avais dit d’être indulgent…. humain quoi.
Oui, j’avais remarqué comme une sorte de baisse de netteté… flou tu crois ? Si tu le dis. Je les ai « triturées » pour le format et je pense que je les ai « abîmées », mais flou, le terme est peut-être excessif, et pis c’est Noël, Félix, pardon Eric.
Pour les deux dernières tu dis rien. Pas un mot, comme ça, en passant. Rien ? Ok d’accord. C’est ton opinion et je la respecte, mais c’est bientôt Noël et ……
André NIHOUARN
ParticipantLes grands esprits se rencontrent…….
Mais mon cher Philippe, je me permets en tant que modérateur-cantabile du Forum, d’apporter quelques précisions.
Je rejoins André, non Philippe, tu dois dire je suis André. Je suis dans le sens je marche dans le sillage, ou sur les pas, ou sur les traces, ou sur les talons d’André, même dans l’ombre de …. Tu vois, je suis d’accord avec, j’approuve, je valide, j’entérine mais avec cette petite distance de retard, cette petite note d’humilité, de prévenance, d’effacement, de savoir-vivre tout simplement, que l’on doit observer quand on aborde la critique, derrière le modérateur-cantabile. Regarde Stéphane, comme André, et puis après, mais simplement après, et Philippe. Tu saisis la réserve, tout en finesse et courtoisie.
La masse noire, oui, mais personnellement, je suis plus nuancé, je parle de bosquet, parce que je suppose un massif, un rideau, une futaie, un taillis. Stéphane parle d’une partie sombre, partie parce qu’il y discerne une portion, fraction parcellaire, fragmentaire de la photo, plus que masse, monceau, paquet ou fatras, et sombre donc indubitablement moins noire puisque simplement sombre.
Mais elle est plus que regardable, ah bon. Me tromperais-je ? Plus que regardable, montrable donc, présentable, voire admirable, ou même vénérable. En l’état. Je me serais fourvoyé dans l’excès. Ce n’est pas ma nature. Stéphane, encore lui, évoque, suggère, laisse entendre une petite, disons, retouche, avec un conditionnel précautionneux, pourrais, afin que cela puisse devenir, par une manipulation sobre du curseur adéquat, éclairci. Tu saisis l’élégance du trait, la coquetterie de la critique. On s’adresse à une dame, photographe de talent, membre du bureau de l’APC, community-manager et mardoulophile.
Ah, oui, excuse-moi Karine, je t’avais un peu oubliée. Attend, je vérifie, oui, c’est bien tes photos Karine, et bien bravo pour ta photo, Karine, avec la grosse masse noire à droite, comme il a dit, lui. (c’est le moment de faire preuve de ce caractère lisse et doux que tu évoquais, avec ton eau figée de Mardoul …. .)
André NIHOUARN
ParticipantJ’avais oublié mon petit mot concernant la sortie de l’ex-Présidente au lac du Drennec. Je vous le livre.
Une petite sortie matinale autour du lac du Drennec, et l’ex-Présidente Che Doménico nous propose pour titre à son sujet : « Quand on s’promène au bord de l’eau ».
Ce choix n’est pas l’objet du hasard. Que nenni. Devant ce spectacle pastoral, s’impose cette petite mélodie légère chantée par Gabin dans le superbe film de Julien Duvivier « La belle équipe ». Un film de 1936. avec ces mots simples qui sentent bon le Front Popu’, les guinguettes et la friture. Le temps des hirondelles en pèlerine, des paniers à salade et des gardes à vue de trois jours. Le bon temps quoi… .
Un seul dimanche au bord de l’eau
Au trémolo
Des p’tits oiseaux
Suffit pour que tous les jours semblent beaux
Quand on s’promène au bord de l’eauCar sous le masque rude de retraité Gouezécois se cache une âme bucolique et bat un cœur champêtre. Et c’est cette âme et ce cœur qui nous invitent à la promenade, au bord de l’eau, à la fin de la « Nose » . (NDLR),
Deux films superbes du même auteur, Julien Duvivier, peuvent éclairer ce sujet :
la 1 et la 2 : « Le jour se lève »
La 3 : « La belle équipe », en N/B évidemment. Et certains s’en étonnent … pauvres gens.
NDLR : le substantif « Nose » est utilisé à dessein par l’auteur, celui-ci ayant été brocardé en pleine réunion sur son apparente méconnaissance de la culture Celte. L’auteur est magnanime, et ne relèvera pas l’outrage.
André NIHOUARN
ParticipantMoi avec mon humeur chagrine, j’aurais dit comme l’ami Ronsart
Ô fins d’automne, hivers, printemps trempés de boue,
Endormeuses saisons ! je vous aime et vous loue
D’envelopper ainsi mon cœur et mon cerveau
D’un linceul vaporeux et d’un vague tombeauBen c’est pas ça qui va nous faire rigoler….
Un truc Karine, si je puis me permettre, et aussi parce qu’Eric me l’avait conseillé, recommandé, suggéré, exhorté, imposé, et il avait raison, encore, le bougre, mais je l’aurai, un jour, oui, un jour je l’aurai, sur la deuxième photo j’aurais recadré pour supprimer les bosquets noirs à droite jusqu’aux premières arches
En portrait tu as une jolie plongée vers le bateau en fond de brume sous les arches, avec le bord en pierre à gauche, et la fin des arbres à droite. Et en paysage aussi. Mais moi, j’ai des principes, un bateau avec des mats, c’est en portrait. Attention, minute, je te parle pas des canoës, hors bords, hovercrafts et autres ersatz de bateau, je te cause goélettes et galions, tu vois, ceux qui méritent l’appellation bateau, comme le tien.
Mais jolie prise en N/B, mélancolique, sombre, chagrine ……… .
André NIHOUARN
ParticipantTu vois Karine, pour moi l’eau doit être jaillissante, entraînante et transparente, comme celle de la claire fontaine de l’ami Brassens ou l’eau vive de Guy Béart. Je ne dis pas que la photo doit refléter la réalité et rien d’autre, je dis que on aime ou on aime pas.
Tu vois quand je photographie un joueur de foot,…… ça y est, tu les entends les artisses de l’APC « qu’est ce qu’il vient nous la ramener (et je reste poli…), l’autre avec ses footeux », mais j’ignore, je méprise, je néglige, et ben quand je photographie un joueur de foot, j’aime bien conserver le mouvement sur le ballon, ou le pied..
Mais bon « ils » aiment toujours pas.
Mais je persiste, alors peut-être que moi aussi, l’eau Torrey Canyonisée, un jour peut-être ……mais il y a eu l’eau Amocco Cadiziée et pis l’eau Erikaiée, alors …… Hein ? Je circule en 307, oui. Gazole ? Oui, et alors ?
Bien Karine mais Mardoul rime avec coule.
André NIHOUARN
ParticipantJ’aime la 1, elle m’évoque les bayous de Louisiane. Remarque moi je connais plus les Bayous de l’Ile Tudy, mais on peut rêver. Ou un paysage de Monet.
La 2 me fascine : Le reflet de l’arbre n’est pas celui que l’on attend, trop flou, et cela fait une tache que mon petit cerveau ne comprend pas. Cela relève presque d’une illusion optique, le cerveau veut toujours corriger ce que la photo lui présente, et là, il a envie de voir des branches dans l’eau, même floues, comme les troncs d’arbres à côté, et il y a cette image qui, dans l’esprit, ne « reflète » pas ce que l’on voit au dessus. J’ai fait un excellentissime article intitulé « Les illusions optiques et André », Chèvre d’Or au festival de Seguin, que je vous présenterais peut être un jour, de ma caractéristique petite voix chevrotante , avec un peu de fortifiants muscariniques et raisinés.
Mais je trouve cette photo très intéressante, plus que la troisième, parce qu’elle ne mobilise pas toute l’attention. Il y a des choses à voir à côté, mais inexorablement on revient sur le reflet de l’arbre. Et ……ça fait mal à la tête ……. .
PS : Numérotation simple mais efficace. Touche-s-en en deux mots à Daniel, discrètement, avec les formes. Mais fais gaffe, c’est le trésorier, il pourrait avoir la surtaxe facile pour l’année prochaine, si tu oses revenir.
André NIHOUARN
ParticipantJ’aime beaucoup les 30 premières et les 30 dernières.
André NIHOUARN
ParticipantLa numérotation est au sujet est ce que le dossard est au peloton du Tour de France, elle est affaire de tous.
La critique de photo, elle, est affaire personnelle. Elle se doit d’être feutrée et tout en nuance.
Alors rigole mon ami, rigole, cela ne m’atteint pas. Tu passes devant moi comme l’eau fielleuse dans la rigole de l’oubli.
Courage Daniel.
André NIHOUARN
ParticipantExcuse-moi, mon cher Philippe mais j’étais accaparé par les déclamations hystériques d’un maniaque de la linguistique, sur un autre sujet.
Numérotation carrée, impeccable.
Photos lumineuses et automnales. Façon peinture pour la 1 et la 2, j’aime bien cette explosion de la 1.
La 3 me plait aussi par le côté net-flou, et les couleurs. A l’endroit, à l’envers, comme le roi Dagobert.
Critique feutrée et tout en nuance.
André NIHOUARN
ParticipantNe t’excuse pas Daniel. Ce qu’a fait Eric est moche. Il t’attaque sur la grammatologie. C’est moche et petit. Alors que lui, le lexicologue convulsionnaire, me semble fâché avec les pluriels des verbes. J’explique.
« La 5 et le 7 me plaise beaucoup aussi », il sent qu’il manque quelque chose puisqu’il a compté sur ses petits doigts deux photos, la 5 et la 7, donc un pluriel. Il grince des dents, et ça lui fait mal à cause des caries, mais il ne corrige pas parce qu’il ne sait pas comment faire, je lui expliquerai.
« il peut plaire à pas mal de photographes qui ne souhaites pas », il sent le pluriel revenir au galop, parce qu’il y a « pas mal de photographes ». « Pas mal », c’est plus que un, c’est une locution adverbiale qui signifie familièrement « beaucoup de « . Par exemple on dit familièrement : Eric ayant vu s’ébrécher pas mal de ses facultés pendant la sortie au Drennec, son sens de l’humour n’était plus garanti », ce qui explique cette attaque linguistologique indigne. Il va corriger à l’instinct, il met un « s » au verbe, ben oui, au pluriel on met un « s » et voila, il est content.
Ne te désole pas Daniel, il me l’a déjà fait sur le sujet « La première séance », « Mais soyons précis s’il vous plait : on parle de suite de Fibonacci, pas de loi … » Cela revient à intervalles irréguliers, ça doit être les vers. Faut que j’en parle à Pierre.
Et puis c’est un club-photo, faut pas l’oublier. On doit se pencher sur la luminosité, le bruit, et la saturation des photos présentées par les artistes du Club, apprécier selon ses goûts telle ou telle photo, expliquer ses choix, faire une petite critique feutrée, tout en nuance. Mais pas ça !
En tant que modérateur 1ère catégorie promotion novembre, j’ai le pouvoir de l’exclure. Je lui donne un sursis.
Allez Daniel, pleure pas, mais ne t’excuse pas, c’est moche cette attaque.
André NIHOUARN
ParticipantPatricia, mon amie,
Tu vois, je t’aime bien . Tu t’intéresses à mes photos, tu as un petit mot gentil pour mon verbiage élucubratoire, mais vois-tu, commencer ton petit mot par « Cher Andrée », je sais pas si tu le sens comme moi, mais voila quoi……Ben oui, ben oui, on pourrait se méprendre et on jaserait….. .
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